- EAN13
- 9782757881200
- Éditeur
- Points
- Date de publication
- 05/09/2019
- Collection
- Points Poésie
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Ô vous qui empruntez le chemin de l'amour,
Observez s'il existe un mal au mien pareil.
Je vous prie de souffrir de m'ecouter me plaindre.
Ne suis-je pas de tous les tourments le relais ?
Dante Alighieri (1265-1321) a moins de trente ans quand il ecrit ce recit
autobiographique, entrecoupe de sonnets, de chansons, de ballades et de
commentaires. Il y raconte son amour pour Beatrice Portinari qui, dans La
Divine Comedie, apparait comme l'intermediaire privilegiee entre le voyageur
celeste et Dieu. Si La Vita Nuova a revetu une telle importance dans
l'histoire de la litterature, ce n'est pas seulement parce qu'il contient des
poemes d'amour rivalisant avec ceux de Petrarque, mais parce que ce texte, de
passion, puis de deuil, ne cesse de poser la question de la verite, de la
transparence, de l'allegorie. Comme dans la plupart des editions italiennes,
sont adjointes les autres poesies circonstancielles et retrouvees de Dante, du
moins celles qui passent pour authentiques. La traduction inedite ici proposee
est en alexandrins, hexasyllabes et le plus souvent, sur le modele des Amours
de Ronsard et des quelques vers ecrits par Dante directement en français, en
decasyllabes.
Traduit de l'italien et preface par Rene de Ceccatty
*[5e]: Cinquième
Observez s'il existe un mal au mien pareil.
Je vous prie de souffrir de m'ecouter me plaindre.
Ne suis-je pas de tous les tourments le relais ?
Dante Alighieri (1265-1321) a moins de trente ans quand il ecrit ce recit
autobiographique, entrecoupe de sonnets, de chansons, de ballades et de
commentaires. Il y raconte son amour pour Beatrice Portinari qui, dans La
Divine Comedie, apparait comme l'intermediaire privilegiee entre le voyageur
celeste et Dieu. Si La Vita Nuova a revetu une telle importance dans
l'histoire de la litterature, ce n'est pas seulement parce qu'il contient des
poemes d'amour rivalisant avec ceux de Petrarque, mais parce que ce texte, de
passion, puis de deuil, ne cesse de poser la question de la verite, de la
transparence, de l'allegorie. Comme dans la plupart des editions italiennes,
sont adjointes les autres poesies circonstancielles et retrouvees de Dante, du
moins celles qui passent pour authentiques. La traduction inedite ici proposee
est en alexandrins, hexasyllabes et le plus souvent, sur le modele des Amours
de Ronsard et des quelques vers ecrits par Dante directement en français, en
decasyllabes.
Traduit de l'italien et preface par Rene de Ceccatty
*[5e]: Cinquième
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