Études françaises. Volume 22, numéro 1, printemps 1986, « ça me fait penser »
1 autre image
EAN13
9782760651487
Éditeur
Les Presses de l’Université de Montréal - Études françaises
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Études françaises. Volume 22, numéro 1, printemps 1986

« ça me fait penser »

Les Presses de l’Université de Montréal - Études françaises

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782760651487
    • Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
    7.99
D’où viennent les idées ? Comment s’enchaînent-elles ? Qu’est-ce qui rend
possible l’émergence d’une « pensée » qu’on appellera (sous réserve)
associative ? Quelles sont les retombées d’une telle découverte ? La question
de l’association – des idées (au dix-huitième siècle), libre (au vingtième) –
travaille à la limite de l’intellection et de la rationalité, ainsi qu’aux
limites de divers champs disciplinaires. Pour ressaisir son enjeu, nous avons
réuni dans ce numéro des philosophes, des psychanalystes et des littéraires
autour de quelques textes nodaux (Diderot, Hume, Sterne, Freud, Joyce,
Pynchon) où l’on trouve une théorie et une pratique de l’association. Deux
questions (entre autres) nous ont servi de fil conducteur : comment
l’association se rend-elle « pensable » (c’est-à-dire intelligible) tout en
maintenant son rapport à l’inconnu ? Comment opère-t-elle discursivement ? Et,
puisque nous observons ici le processus de l’association à partir de deux
moments historiques différents et que, dans chacun des « cas », elle annonce
une manière de penser autre, cette question aurait-elle partie liée avec notre
« inconscient épistémologique » ?
S'identifier pour envoyer des commentaires.