- EAN13
- 9782764418635
- Éditeur
- Québec Amérique
- Date de publication
- 2004
- Collection
- Titan+
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Où commence la réalité et où s’arrête la fiction ? A-t-on le droit d’inclure
ses proches dans les histoires qu’on écrit ? Et si l’on puise librement dans
la réalité pour en faire de la fiction, faut-il craindre que cela ait un
impact dans la vraie vie ? Voici un bref aperçu des questionnements qui
accompagnent la parution de L’araignée sauvage de François Gravel, un roman
pour adolescents qui joue habilement sur les faux-semblants. Avec cette
histoire plus vraie que nature, l’auteur saura susciter la réflexion sur la
place de la littérature et de ses rouages. Ayant pris goût à la lecture grâce
à monsieur Vinet, son prof de français, Steve Charbonneau voue une admiration
sans bornes à Steve Prince, auteur de romans d’horreur. À l’instar de son
idole, il prend la plume pour écrire une histoire inspirée par des acteurs
connus : les gens de son école. Mais voilà que la haute direction de son
établissement scolaire désapprouve rigoureusement les libertés qu’il prend
avec la fiction. On l’invite fortement à réfléchir avant d’écrire n’importe
quoi. S’ensuivent une suspension et une sanction pour le moins inattendues. Il
sera incarcéré dans une maison de redressement qui s’apparente drôlement à une
prison, le temps qu’un juge et un psychologue examinent son cas. Attendant
l’instruction de sa cause, Steve est appelé à côtoyer des délinquants de la
trempe de ceux qui n’hésitent pas à commettre des actes criminels beaucoup
plus répréhensibles que de se servir d’un crayon pour écrire une histoire…
ses proches dans les histoires qu’on écrit ? Et si l’on puise librement dans
la réalité pour en faire de la fiction, faut-il craindre que cela ait un
impact dans la vraie vie ? Voici un bref aperçu des questionnements qui
accompagnent la parution de L’araignée sauvage de François Gravel, un roman
pour adolescents qui joue habilement sur les faux-semblants. Avec cette
histoire plus vraie que nature, l’auteur saura susciter la réflexion sur la
place de la littérature et de ses rouages. Ayant pris goût à la lecture grâce
à monsieur Vinet, son prof de français, Steve Charbonneau voue une admiration
sans bornes à Steve Prince, auteur de romans d’horreur. À l’instar de son
idole, il prend la plume pour écrire une histoire inspirée par des acteurs
connus : les gens de son école. Mais voilà que la haute direction de son
établissement scolaire désapprouve rigoureusement les libertés qu’il prend
avec la fiction. On l’invite fortement à réfléchir avant d’écrire n’importe
quoi. S’ensuivent une suspension et une sanction pour le moins inattendues. Il
sera incarcéré dans une maison de redressement qui s’apparente drôlement à une
prison, le temps qu’un juge et un psychologue examinent son cas. Attendant
l’instruction de sa cause, Steve est appelé à côtoyer des délinquants de la
trempe de ceux qui n’hésitent pas à commettre des actes criminels beaucoup
plus répréhensibles que de se servir d’un crayon pour écrire une histoire…
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