- EAN13
- 9791037020680
- Éditeur
- Hermann
- Date de publication
- 15/05/2015
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Très présente dans le débat politique depuis le début de la crise financière,
la notion de régulation demande à être éclaircie. Issue des sciences de la vie
et des systèmes mécaniques, son application au droit et à la société est loin
d’aller de soi. Qu’est-ce au juste qui devrait être régulé, par qui, et
comment ? La diversité des dimensions du problème et la polysémie de la notion
demandent un éclairage pluridisciplinaire, de la philosophie au droit public
en passant par la sociologie politique. Mais, au-delà même de l’aspect de la
question, ses enjeux sont bien d’ordre politique, et invitent à élucider les
normes et les institutions qui organisent la vie commune. Comment les normes
sociales se traduisent-elles dans les institutions gouvernementales ? Et par
là, quelle forme peut encore prendre la démocratie dans l’idéal d’un tel
gouvernement automatique de la société par elle-même ?
Caterina Gabrielli prépare une thèse au sein de l’équipe Nosophi du
laboratoire Philosophies contemporaines (PhiCo) de Paris 1, en cotutelle avec
l’Università degli Studi di Salerno. Elle travaille sur la théorie des
opérations à procédure proposée par Maurice Hauriou dans le cadre de sa
réflexion sur les institutions.
la notion de régulation demande à être éclaircie. Issue des sciences de la vie
et des systèmes mécaniques, son application au droit et à la société est loin
d’aller de soi. Qu’est-ce au juste qui devrait être régulé, par qui, et
comment ? La diversité des dimensions du problème et la polysémie de la notion
demandent un éclairage pluridisciplinaire, de la philosophie au droit public
en passant par la sociologie politique. Mais, au-delà même de l’aspect de la
question, ses enjeux sont bien d’ordre politique, et invitent à élucider les
normes et les institutions qui organisent la vie commune. Comment les normes
sociales se traduisent-elles dans les institutions gouvernementales ? Et par
là, quelle forme peut encore prendre la démocratie dans l’idéal d’un tel
gouvernement automatique de la société par elle-même ?
Caterina Gabrielli prépare une thèse au sein de l’équipe Nosophi du
laboratoire Philosophies contemporaines (PhiCo) de Paris 1, en cotutelle avec
l’Università degli Studi di Salerno. Elle travaille sur la théorie des
opérations à procédure proposée par Maurice Hauriou dans le cadre de sa
réflexion sur les institutions.
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