L'attaque du train 921
EAN13
9791070030608
Éditeur
OXYMORON Éditions
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
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L'attaque du train 921

OXYMORON Éditions

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La duchesse Charlotte-Adélaïde de Maubois, qui va se marier aux Indes, a pris
place dans le rapide de Marseille. Elle emporte de merveilleux bijoux sur le
sort desquels veille le policier Mirabel.

Ce dernier, après avoir causé au moment du départ avec un riche américain,
Harry Gedworth, remarque dans le wagon un individu qu’il croit reconnaître ;
mais il ne peut préciser ses souvenirs.

L’inconnu suspect s’est retiré de très bonne heure dans son compartiment. Le
policier attend vainement son retour : lorsqu’il rentre enfin dans le
sleeping, l’homme a disparu.

Avec « LES BANDITS DU RAIL », Georges SPITZMULLER (1866–1926) nous livre une
saga policière rocambolesque et exaltante qui tient le lecteur en haleine
jusqu’à son dénouement sans jamais perdre de son intérêt un seul instant.

Ce foisonnant récit aux multiples personnages et rebondissements démontre
combien l’auteur maîtrisait à la fois le format, le genre et la narration.

Édité à l’origine en 1921 sous la forme de fascicules qui sont désormais
introuvables, il était temps que le roman-feuilleton « LES BANDITS DU RAIL »
retrouve sa fonction première, celle d’enchanter les lecteurs.

Que ce souhait de l’écrivain soit aussi vrai auprès des lecteurs d’aujourd’hui
qu’il le fût avec ceux d’hier, car Georges SPITZMULLER n’avait d’autre but que
celui-ci, comme le prouvent les propos du journaliste Georges BERGNER,
quelques mois après la mort de l’auteur :

« Georges SPITZMULLER a contribué, pour sa part, à réhabiliter le roman
populaire. Il lui plaisait de distraire un public nombreux et divers, de
l’entraîner dans des aventures de tendresse et d’héroïsme, de préférer le
mouvement de la phrase au fini du style, de captiver par des intrigues sans
épisodes scabreux, de montrer des personnages à panache plutôt que des
freluquets à veston étriqué.

Il composait dans l’allégresse, avec l’aisance que donnent la bonne humeur et
le désir de séduire, sans escompter une renommée raffinée. Plusieurs de ses
ouvrages révèlent des ressources d’érudition, de mesure, de goût délicat. Il
aurait pu les développer, mais il mettait sa coquetterie à les suggérer
simplement. La spontanéité de son imagination, la vivacité de sa plume, la
souplesse de ses qualités lui ont permis d’aborder plusieurs fois le théâtre
avec un certain succès. »
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