- EAN13
- 9782212155150
- Éditeur
- Eyrolles
- Date de publication
- 21/01/2021
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782212155150
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La violence thérapeutique faite aux femmes naît en même temps que la médecine
moderne. Auparavant jugées comme sorcières, elles ont été qualifiées
d’hystériques, de dépressives et, maintenant, de bipolaires. Pratiquée
longtemps essentiellement par des hommes, la science médicale a enfermé les
femmes dans ces catégories. Qu’il s’agisse de psychiatrie, de gynécologie, de
médecine générale ou de toute autre forme de prise en charge, la relation
thérapeutique est encore trop souvent sourde aux symptômes et à la souffrance
des femmes.
S’appuyant sur des situations cliniques, tirées des archives médicales et de
son expérience de psychiatre et psychanalyste, Thierry Delcourt retrace
l’histoire de ces violences afin d’éclairer sur les conditions d’un soin
respectueux. Il ne s’agit pas d’un procès de la médecine actuelle dont les
progrès sont fascinants, ni des soignants qui tentent de soulager les
patientes. Il s’agit de permettre que les femmes se libèrent des mauvais
traitements qu’elles subissent encore quand la maladie les place en posture de
faiblesse, quand des thérapeutes n’écoutent pas leur parole.
moderne. Auparavant jugées comme sorcières, elles ont été qualifiées
d’hystériques, de dépressives et, maintenant, de bipolaires. Pratiquée
longtemps essentiellement par des hommes, la science médicale a enfermé les
femmes dans ces catégories. Qu’il s’agisse de psychiatrie, de gynécologie, de
médecine générale ou de toute autre forme de prise en charge, la relation
thérapeutique est encore trop souvent sourde aux symptômes et à la souffrance
des femmes.
S’appuyant sur des situations cliniques, tirées des archives médicales et de
son expérience de psychiatre et psychanalyste, Thierry Delcourt retrace
l’histoire de ces violences afin d’éclairer sur les conditions d’un soin
respectueux. Il ne s’agit pas d’un procès de la médecine actuelle dont les
progrès sont fascinants, ni des soignants qui tentent de soulager les
patientes. Il s’agit de permettre que les femmes se libèrent des mauvais
traitements qu’elles subissent encore quand la maladie les place en posture de
faiblesse, quand des thérapeutes n’écoutent pas leur parole.
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