- EAN13
- 9782226492449
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 31/01/2024
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 17,90
" Un livre à la fois intellectuellement stiumant et poigant [...]." La Vie
" Un essai magistral qui mêle interrogations philosophiques et interrogations
sociétales." Psychologies
« Les larmes ne sont pas le seul langage de la perte, du désespoir et du
chagrin. Elles sont courageuses, audacieuses car elles nous indiquent que
quelque chose doit être changé à quoi il faut consentir. En ce sens elles sont
un chemin de liberté bien davantage qu’une voie de résignation. »
En interrogeant la signification existentielle des larmes, Guillaume Le Blanc
ouvre un champ inédit. Des pleurs solitaires – larmes d’Achille ou de Priam,
d’Énée ou d’Antigone, de la sainte Thérèse du Bernin, du marin d’Odessa dans
Le Cuirassé Potemkine... – aux larmes solidaires – celles des « folles de la
place de Mai », de Greta Thunberg ou du 11 septembre 2001 – il esquisse une
métaphysique des larmes à rebours de la fragilité qu’on leur attribue. Non
seulement les larmes nous rendent pleinement humains, mais lorsque celles-ci,
solitaires, deviennent solidaires, elles apparaissent comme une force
politique. En osant pleurer, on ne fait pas que déplorer, on accuse, on
réclame justice : un peuple en larmes est un peuple en armes.
" Un essai stimulant." La Croix Hebdo
" Un essai magistral qui mêle interrogations philosophiques et interrogations
sociétales." Psychologies
« Les larmes ne sont pas le seul langage de la perte, du désespoir et du
chagrin. Elles sont courageuses, audacieuses car elles nous indiquent que
quelque chose doit être changé à quoi il faut consentir. En ce sens elles sont
un chemin de liberté bien davantage qu’une voie de résignation. »
En interrogeant la signification existentielle des larmes, Guillaume Le Blanc
ouvre un champ inédit. Des pleurs solitaires – larmes d’Achille ou de Priam,
d’Énée ou d’Antigone, de la sainte Thérèse du Bernin, du marin d’Odessa dans
Le Cuirassé Potemkine... – aux larmes solidaires – celles des « folles de la
place de Mai », de Greta Thunberg ou du 11 septembre 2001 – il esquisse une
métaphysique des larmes à rebours de la fragilité qu’on leur attribue. Non
seulement les larmes nous rendent pleinement humains, mais lorsque celles-ci,
solitaires, deviennent solidaires, elles apparaissent comme une force
politique. En osant pleurer, on ne fait pas que déplorer, on accuse, on
réclame justice : un peuple en larmes est un peuple en armes.
" Un essai stimulant." La Croix Hebdo
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