- EAN13
- 9782756105345
- Éditeur
- Léo Scheer
- Date de publication
- 10/2014
- Collection
- Philo
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Algèbre de la Tragédie
Postface de Tristan Garcia : Critique et rémission
Mehdi Belhaj Kacem
Léo Scheer
Philo
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Aide EAN13 : 9782756105338
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Papier - Léo Scheer 20,00
Mehdi Belhaj Kacem et Tristan Garcia ont en commun d’être deux figures
majeures de la scène philosophique française et de poursuivre, chacun à leur
manière, l’écriture d’une œuvre littéraire. « Algèbre de la Tragédie », le
dernier chapitre de L’Esprit du nihilisme, est le point de départ choisi par
Tristan Garcia pour son intervention lors du colloque organisé, en 2013,
autour de l’œuvre de Mehdi Belhaj Kacem, à l’ENS-Ulm. Dans sa postface,
Critique et rémission, il propose la lecture suivante de sa démarche : «
L’œuvre de Mehdi Belhaj Kacem correspond à l’idéal que je me fais d’une pensée
critique, au terme du XXe siècle et d’une modernité qui ne veut pas finir. En
repartant du début d’Algèbre de la Tragédie, je voudrais éprouver par des
concepts mon sentiment de lecteur : qu’est-ce qui m’amène à interpréter le
travail de Mehdi Belhaj Kacem comme celui du critique par excellence – de
l’homme de la crise ?»
majeures de la scène philosophique française et de poursuivre, chacun à leur
manière, l’écriture d’une œuvre littéraire. « Algèbre de la Tragédie », le
dernier chapitre de L’Esprit du nihilisme, est le point de départ choisi par
Tristan Garcia pour son intervention lors du colloque organisé, en 2013,
autour de l’œuvre de Mehdi Belhaj Kacem, à l’ENS-Ulm. Dans sa postface,
Critique et rémission, il propose la lecture suivante de sa démarche : «
L’œuvre de Mehdi Belhaj Kacem correspond à l’idéal que je me fais d’une pensée
critique, au terme du XXe siècle et d’une modernité qui ne veut pas finir. En
repartant du début d’Algèbre de la Tragédie, je voudrais éprouver par des
concepts mon sentiment de lecteur : qu’est-ce qui m’amène à interpréter le
travail de Mehdi Belhaj Kacem comme celui du critique par excellence – de
l’homme de la crise ?»
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