- EAN13
- 9791022601023
- Éditeur
- Anne-Marie Métailié
- Date de publication
- 10/04/2014
- Collection
- Bibliothèque Hispano-Américaine
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9791022601023
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Le détective Edgar Mendieta, alias Zurdo, le Gaucher, songe au suicide.
Quarante-trois ans, un boulot de chien, pas de femme, et une très forte
tendance à l’autoflagellation. Pour couronner le tout, on le charge d’enquêter
sur la mort d’une splendide strip-teaseuse, Mayra, qu’il a connue d’un peu
trop près : une bombe aux yeux vairons, la seule à l’avoir traité avec
indulgence, presque tendresse. Zurdo est bon pour la tournée des night-clubs,
cantinas et autres arrière-cours du Mexique contemporain, au moment où le
gouvernement déclare la guerre aux narcos.
Son spleen n’est pas près de s’arranger : outre les trafiquants d’armes, les
faux gringos et les danseuses paniquées, Gris, son fidèle lieutenant, est en
pleine crise amoureuse ; son chef voudrait laisser tomber l’enquête ; lui
n’arrive pas à mettre la main sur son psy et pleure son amour perdu.
Pendant ce temps, la tequila coule à flots et les cadavres s’empilent. Avec
son style inimitable, Mendoza nous plonge dans un Mexique baroque et délirant,
où on tutoie la mort à tous les coins de rue, entre deux verres.
Un polar impeccable, avec tous les ingrédients du genre, plus une bonne dose
d’humour et l’argot lyrique des truands latinos.
Quarante-trois ans, un boulot de chien, pas de femme, et une très forte
tendance à l’autoflagellation. Pour couronner le tout, on le charge d’enquêter
sur la mort d’une splendide strip-teaseuse, Mayra, qu’il a connue d’un peu
trop près : une bombe aux yeux vairons, la seule à l’avoir traité avec
indulgence, presque tendresse. Zurdo est bon pour la tournée des night-clubs,
cantinas et autres arrière-cours du Mexique contemporain, au moment où le
gouvernement déclare la guerre aux narcos.
Son spleen n’est pas près de s’arranger : outre les trafiquants d’armes, les
faux gringos et les danseuses paniquées, Gris, son fidèle lieutenant, est en
pleine crise amoureuse ; son chef voudrait laisser tomber l’enquête ; lui
n’arrive pas à mettre la main sur son psy et pleure son amour perdu.
Pendant ce temps, la tequila coule à flots et les cadavres s’empilent. Avec
son style inimitable, Mendoza nous plonge dans un Mexique baroque et délirant,
où on tutoie la mort à tous les coins de rue, entre deux verres.
Un polar impeccable, avec tous les ingrédients du genre, plus une bonne dose
d’humour et l’argot lyrique des truands latinos.
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