- EAN13
- 9782918682332
- ISBN
- 978-2-918682-33-2
- Éditeur
- Arkhê
- Date de publication
- 08/05/2017
- Collection
- Vox’
- Nombre de pages
- 188
- Dimensions
- 20,5 x 14 x 1,5 cm
- Poids
- 240 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
La révolte des premiers de la classe
Métiers à la con, quête de sens et reconversions urbaines
De Jean-Laurent Cassely
Arkhê
Vox’
Offres
-
12.25 (Occasion)
Vous-vous ennuyez au travail malgré de bonnes études ? Vous-vous sentez inutile ? Rassurez-vous, vous n'êtes pas seul.
Ceux qu'on appelle encore les « cadres et professions intellectuelles supérieures » n'encadrent plus personne, d'ailleurs ils n'utilisent plus vraiment leur cerveau et sont menacés par le déclassement social. Chez ces anciens premiers de la classe, les défections pleuvent et la révolte gronde. Vous ne les trouverez cependant pas dans la rue à scander des slogans rageurs, mais à la tête de commerces des grands centres urbains : boulangers, restaurateurs, pâtissiers, fromagers, bistrotiers ou brasseurs, derrière leur comptoir et les deux mains dans le concret. La quête de sens de ces jeunes urbains n'a pas fini de redessiner nos villes, notre consommation mais aussi notre vision du succès, car ces nouveaux entrepreneurs marquent peut-être le renversement des critères du prestige.
Alors, faut-il vraiment passer un C.A.P. cuisine après un bac+5 ?
Ceux qu'on appelle encore les « cadres et professions intellectuelles supérieures » n'encadrent plus personne, d'ailleurs ils n'utilisent plus vraiment leur cerveau et sont menacés par le déclassement social. Chez ces anciens premiers de la classe, les défections pleuvent et la révolte gronde. Vous ne les trouverez cependant pas dans la rue à scander des slogans rageurs, mais à la tête de commerces des grands centres urbains : boulangers, restaurateurs, pâtissiers, fromagers, bistrotiers ou brasseurs, derrière leur comptoir et les deux mains dans le concret. La quête de sens de ces jeunes urbains n'a pas fini de redessiner nos villes, notre consommation mais aussi notre vision du succès, car ces nouveaux entrepreneurs marquent peut-être le renversement des critères du prestige.
Alors, faut-il vraiment passer un C.A.P. cuisine après un bac+5 ?
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